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| Sujet: dépasser les limites Ven 20 Mar - 23:48 | |
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- simon haverford - vingt-sept | assistant prof. de langues | célibataireorigines : Pays des monty python et de la mère des corgis. vie de famille : Enfant du divorce, la moitié d'une vie passée sur le vieux continent, le reste en exil après la mort de la génitrice. Un père qui garde ses distances et préfère nourrir le compte en banque de billets verts plutôt qu'entretenir un semblant de relation sociale avec son rejeton. Simon, il fait comme si son père n'existait pas, comme si sa carte de crédit était toujours vide, parce qu'il répugne à vivre aux crochets de l'absent. Sa famille, c'est ses potes, ceux chez qui il adore squatter le canapé jusqu'à se faire mettre des coups de pieds au cul. caractère : honnête, désabusé, fêtard, protecteur, extraverti, je m'en foutiste, blagueur, égoïste, bagarreur, flemmard, sanguin, possessif, secret, loyal, beau parleur, intelligent.
< La première chose qui frappe quand on rencontre Simon, c'est son air candide sous ses boucles brunes et rebelles qui lui retombent sur le front. Ses manières de gentleman, ensuite, en bon représentant de l'Angleterre qu'il est - manières qui s'envolent très, très vite, dès qu'on connait un tant soit peu le personnage. Tout comme la candeur, remplacée par une vision cynique sur la vie et sur les gens. Simon, il est désabusé, Simon, tout l'ennuie, Simon, rien n'est assez bien à ses yeux et il est mieux que tout le monde. Un vrai petit con sous son visage d'ange, qui arrive à faire flancher les plus faibles avec son accent de dandy.
‹ Vous ne le verrez que très rarement sans une cigarette au bec ou serrée entre ses doigts nerveux. En plus de l'image qu'il aime se donner, le petit ne peut se passer de la nicotine ; voire même de plus, quand les effets de celle-ci ne se font plus ressentir. Fêtard par excellence, il a la gueule de bois un jour sur deux, en attestent les cernes sous ses yeux.
‹ En plus d'entretenir, et de détruire son corps, Simon aime cultiver son esprit. Un point qu'il ne peut éviter, de toute façon, avec le poste qu'il occupe. Une cigarette dans une main, un livre dans l'autre - ou un crayon, ça dépend du mood. Le jeune homme dévore les bouquins, les séries, les nouvelles, les poèmes, les pièces de théâtre... Bref. Tout y passe. Quand ça ne repasse pas sous ses doigts. Il s'essaye à tous les genres, bien qu'il n'a pas encore trouvé ce qui lui allait parfaitement. Il écrit des articles, de temps et temps, et arrive à se faire publier - pas toujours.
‹ Malgré sa vie sociale plutôt active, Simon n'en reste pour autant pas moins un solitaire. L'amour, il ne veut pas en entendre parler ; les relations, encore moins. L'homme n'a jamais eu de copine de longue durée à recenser, et ça lui convient très bien comme ça. La vie du bon américain rangé, très peu pour lui.
signe astrologique : cancer, c'en est un sur tous les plans. Pensez-vous être quelqu'un de bien ? : Je ne pense pas. Sans être un monstre, je peux reconnaître que mes défauts sont plus nombreux que mes qualités. Mon égoïsme et mon égocentrisme sont le moteur de ma routine. Je dois avouer que je laisse bien parler mon cœur, quelque fois, mais je ne m'en vante pas. Ta dernière bonne action ? : ??? Tes plus gros pêchés ? : Paresse est mère de procrastination, celle qui déclenche l'adrénaline quand il faut finalement boucler un dossier qui arrive à terme. Orgueil et préjugés. Luxure baignée de quelques gouttes d'illégalité. « En toute honnêteté, Monsieur... J'me fous pas mal de votre festival de country.Sérieux. Si encore on pouvait appeler ça de la vraie musique, à la limite. « Sortez d'ici, espèce de petit con. Et emmenez votre article à deux balles avec vous.Un soupir à peine dissimulé, j'hausse les épaules, m'empresse de récupérer la feuille aux trois paragraphes bâclés qui repose sur le bureau de l'imposant directeur de publication. Je l'avoue, clairement, c'était pas les meilleurs mots que j'avais pu coucher dans ma vie et je crois qu'en y réfléchissant bien, je lui avais remis le brouillon sur lequel j'avais testé des haïkus. Bon. Pas grave. Ça arrive aux meilleurs. Puis, en tout honnêteté, j'avais clairement pas envie de faire mes preuves aux yeux de ce vieux-là. M'enfermer dans un petit journal local pour débattre de l'inflation du prix des tomates, c'était pas le dream pour moi et j'pense bien que ça ne le sera jamais. J'crois que j'ai pas des rêves comme tout le monde, non plus, mais ça, ça me semble plutôt basique. On veut toujours viser plus haut. Mes pas me mènent sur la rue, j'délaisse cet établissement qui n'a pas su lire le talent entre les lignes. Too bad for them. Aussitôt, ma main fouille les poches de ma veste ; vite, un briquet, une cigarette, j'suis paré pour déambuler. Le vent souffle un peu, emporte avec lui ce qu'il me restait de confiance en moi. Bordel, pourquoi c'est si difficile de trouver un job intéressant, par les temps qui courent ? C'est pas vraiment comme si j'en avais besoin, mais quand même. Pour le principe. Je me repose sur un petit pactole qui dort paisiblement quelque part dans un coffre fort en Angleterre. Le divorce de ma mère lui a rapporté pas mal de livres sterling ; j'en ai hérité aussitôt que son cercueil a été mis en terre. Le padre, lui, il continue à tracer sa route d'Eldorado, il m'verse des dollars sur le compte en banque plutôt que de m'adresser des mots ; c'est mieux comme ça. Dix ans que j'ai déménagé pour vivre avec lui, pourtant, j'ai pas l'impression de plus le connaître que ça. Y a pas plus aux antipodes que nous deux. C'est la vie. J'veux pourtant pas dépendre de lui ou du fantôme maternel pour le restant de mes jours. J'pense bien que je vais finir par envisager d'accepter le poste d'assistant du professeur Akane, il avait plutôt l'air insistant. Boh. Pourquoi pas. Après tout, je connais déjà l'université comme ma poche, j'ai mes entrées dans les fêtes et des têtes connues à tous les couloirs. Ça peut être pas mal. Une vibration dans la poche, je chiffonne la feuille de papier, m'en débarrasse avant de saisir le smartphone, qui m'annonce une bulle de conversation. Caïro. Le pote qu'est toujours présent pour proposer des plans au meilleur moment. Quelle merveilleuse idée. Je penserai à mon avenir demain.
pseudo : spf. âge : vingt-sept. avatar : joe keery. crédits : flippyspoon. commentaire : trop contente de débarquer dans cette bulle de love. promis, la fiche se remplit vite.
Dernière édition par Simon Haverford le Sam 21 Mar - 1:15, édité 2 fois |
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Carter Whitmore le grand méchant loup
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| Sujet: Re: dépasser les limites Sam 21 Mar - 0:07 | |
| Bienvenue officiellement à la maison |
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| Sujet: Re: dépasser les limites Sam 21 Mar - 0:43 | |
| Oh shit.. OMG... Je meurs... Mon bébé de keery Je veux un lien, c'est dit voilà Bienvenu ici mon tout beau |
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| Sujet: Re: dépasser les limites Sam 21 Mar - 0:49 | |
| ta première fan, je pose ma patte ici |
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| Sujet: Re: dépasser les limites Sam 21 Mar - 1:21 | |
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Carter Whitmore le grand méchant loup
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| Sujet: Re: dépasser les limites Sam 21 Mar - 11:33 | |
| Ta fiche est maintenant validée ! Amuse toi bien |
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| Sujet: Re: dépasser les limites | |
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